Une étude menée par le cabinet de recrutement Robert Half dévoile le faible taux de satisfactions des salariés concernant leur équilibre vie pro – vie perso.
Entre vie professionnelle et vie personnelle, ce n’est pas facile de trouver le point d’équilibre. Pourtant, quand celui-ci n’est pas atteint, le moral, l’implication et la motivation des salariés diminuent. Particulièrement pour les jeunes générations soucieuses de stabilité. En 2017, 93% des salariés jugeaient d’ailleurs ce critère important, selon une étude menée par l’Union Nationale des Associations Familiales.
Les millennials (né entre 1980 et 2000) ne sont que 9% des 18-34 ans à se dire satisfaits, contre 14% de leurs aînés âgés de plus de 55 ans.
Améliorations
Les choses devraient néanmoins changer sous peu, précisent encore les auteurs de l’étude. La simplification du Code du travail est en voie d’apporter des améliorations concrètes, notamment grâce à la facilitation du télétravail.
Plus de flexibilité
Côté directions les mentalités évoluent aussi. 38% des directeurs généraux (sur 300 interrogés) se disent envisager plus de flexibilité dans le travail, et 34% favorables à l’équilibre de vie de leurs salariés, peut-on lire dans une étude menée par le même cabinet en janvier 2018. Une tendance fortement appréciée des jeunes actifs, qui permet aux entreprises d’augmenter leur attractivité et de fidéliser leurs salariés, sur un marché de l’emploi plus flexible et donc plus concurrentiel.
Source: LeFigaro. Image: 123RF